Le retour. /Yaoi-Yuri\

Edward était assit sur les marches devant le quartier général de central. Il avait reçut une lettre ce matin des mains d’un militaire, que lui voulait donc Mustang ? Le faire redevenir alchimiste d’état ? Cela l’importait peut, mais il n’avait pas envies de redevenir alchimiste d’état s’il n’avait pas de raison valable pour cela. Regardant sa montre a gousset, offerte par Alphonse Haidrish, il soupira alors, c’était l’heure.

N’aillent pas le choix il se leva, et s’épousseta. Puis enfin le blond, qui n’était plus aussi petit que ça, mais pas bien grand non plus gravie les marches. Traversant l’immense hall d’entrer, passant devant des militaire, qui s‘arrêtait stupéfait de le voir revenir, d’autre demandant qui il était. Il se présenta devant la secrétaire, celle-ci se leva, et frappa à la porte, quand le « entrez » fut prononcé, elle laissa Edward entrer seul. Il portait une chemise blanche a col mao. Un gilet marron foncer sans manche, et un pantalon droit a pince brun moyen. Des chaussures a lacet noir, et au manche des sangles sur le haut des bras pour les empêcher de tomber. Il portait sur le bras sa longue veste noir, et ses cheveux blond attacher en queue de cheval mit haute, toujours ses mèche autour du visage. Le regard pétillant de vie, mais a la fois lointain.

Ses yeux doré se posèrent sur l’homme habiller en bleu, au cheveux noir, et au regard si pénétrant. Que lui voulait-il donc, pourquoi le déshabillait –il du regard ainsi.

« Vous voulez ma photo ? »

Le petit blond plissa les yeux méfiant, puis s’écarta quand le grand brun commença une tentative de charme. Puis il alla s’asseoir sur une banquette d’un air nonchalant. Aillant mit sa veste sur le dossier de celle-ci, il croisa les jambes, puis les mains sur son genoux tout en le fixant.

« Que me voulez vous donc ? Pourquoi m’avoir demandez de revenir ? »

Fit celui-ci avant de regardez sa main droite qui semblait humaine, son auto mail étant recouverte d’une fausse peau plastique proche de la texture de la vrai peau pour donner une illusion qu’il avait ses membre.

Mais surtout le petit blondinet ne comprenait pas pourquoi ce colonel qui devait sûrement bientôt monté en grade, le rappelait, lui qui était devenue un simple professeur archéologue.

Edward ne préféra pas vraiment l’écouter, ou du moins faire attention.

« Vous avez besoin de moi pour une mission ? Je vous préviens, que vous devrez avoir une bonne raison pour me convaincre, car je ne fait plus parti de l’armé je vous rappelle. »

Il prit la tasse de thé tendu, puis se décala loin du bras du colonel, se collant presque a l’accoudoir, puis il prit porta la tasse a ses lèvres, goûtant le liquide, amère et a la fois fruité. C’était délicieux, lui le buvait sans sucre, et sans lait, de une il n’aimais pas le lait, et de deux il trouvait que le sucre cassait le goût si raffiner du thé.

Edward s’étrangla avec son Thé puis le regarda comme s’il était fout, puis se leva et alla ver la fenêtre.

« Non je ne suis pas intéressez, mon travail actuel me convient parfaitement. » il est sur qu’il préférait être payer des clopinettes, a voir des subvention pour ses recherches Archéologique, que de redevenir un larbins, il avait eu tellement de mal a faire dire a son frère, qu’il quitterait l’armée, ce n’était pas pour y retourner. Pas sans une bonne raison.

Je ne reviendrais que si vous me fournissez une excellente raison et qui est valable, pas bancal ! »

Décréta le blond d’une voix froide et mesquine a la fois, moqueuse, l’air de dire « tu peut toujours courir pour que je revienne sale Obséder. » Edward n’avait pas envies de devoir a nouveau subir les sarcasme de Roy.

" Ah ... tu me decois Ed .."

Il lui tourna le dos l'air penaud et alla s'assoir sur son bureau.

" Tu peux toujours partir mais sache que si tu as envie de revenir dans l'armée je suis la .."

*tsss tu crois que j'abandonne comme sa, *

Il fit son air penaud mais on voyait que derriere cet air il etait mesquin et fourbe.

" A plus tard ! je viendrais te rendre visite de temps a autre, fullmetal ...."

Le jeune homme le regarda et s’approcha de lui, se mettant face au bureau, il mit un genou sur le meuble, et attrapa Roy par le col de sa veste.

« Allez droit au but Colonel, que voulez vous de moi ? Que je rentre a nouveau dans l’armé, c’est déjà fait. J’ai eu ma montre hier. »

Le garçon pouvait pourtant démissionner a nouveau quand il le voulait. Mais il voyait claire dans le jeu de l’homme, celui-ci voulait jouer avec lui, mais il ne serait pas son pantin

Le garçon le laissa quitter sa poigne d’acier,e t le mot n’était pas faible, vu qu’il l’avait tenue avec sa main droite, puis il se releva, et se gratta l’arrière de la tête, son autre main sur sa hanche.

« Halala ! Vous n’avez pas changé Colonel, et vous ne changerez jamais. Et oui je reprendrais du thé. »

Le jeune homme alla se ré-assoir, ou plutôt s’avachir dans le canapé.

« Au faites, en venant ici, j’ai entendu dire que vous aviez quelqu’un en vue, mais que vous jouer les timide, vous devriez lui dire a cette personne qu’elle vous plait, sinon elle vous filera sous le nez, je sais de quoi je parle, et pourtant, je ne suis pas un dragueur invétérer comme vous. »

oui c'est exact ! et bin pour un gamin tu es plutot curieux vis a vis de la vie privée des autre ?"

Un sourire mesquin vint s'afficher sur son visage tandis qu'il se levait et prenait la peine de se resservir du thé.
Il s'asseya a coté de Edward toujours avachi sur son fauteuil.

"A toi je peux le dire surement la personne que j'ai en vue c'est .. toi"

Et Roy bu son thé comme si rien ne c'etait passez.

Le garçon avala de travers et se mit a tousse,r s’étranglant sous cette annonce, il se frappa le torse de son poing pour faire passer sa tout, et le regarda en coin.

« Mais bien sur, et vous penser que je vais vous croire ? Vous un coureur de jupon s’intéresser au garçon, c’est stupide, je ne suis peut être plus mineur, mais faut pas abusé, je ne suis plus aussi crédule que avant. »

Il le regardait, se méfiant tout de même de lui, le colonel était capable de lui raconter n’importe quoi pour le tester.

Le garçon se recula loin de lui.

« Mais ? mémémémémé c’est dégoûtant ! On est des garçons ! Je ne donnerais pas mon premier baiser à un garçon, aussi beau qu’il puise être ! »

Il mit sa main devant sa bouche, il venait d’avouer que le colonel mustang était un bel homme, cela était inquiétant pour lui.

*J’ai dit une bourde la*

Edward ne c’était même pas sentis e déplacer, et être allonger du au baiser trop captivant sûrement. Clignant des yeux il sembla enfin réaliser et mit la main sur sa bouche.

*Qu’ai-je fait ? *

Pensât-il en regardant l’homme au dessus de lui.

« C’était un accident ! »

Se défendit le garçon aillant du mal à admettre qu’il avait eux son premier baiser par un garçon, ou même qu’il puise intéresser un homme et ne pas trouver cela dégoûtant. Alors il se contentait de le regardez, en retirant sa main.

Edward était perdu, il se redressa et s’accouda sur ses genoux, il avait chaud subitement, quand une tasse lui fut proposé, il la prit et en but une gorger. Pas que l’échange de salive le dérange, mais quand même un peut. C’était froid et mouiller, donc du mouiller chaud et bon était mieux.

Il soupira et s’installa mieux.

« Disons que je me coucherais mon con ce soir^^ »

[son accro au Thé ^^]

Le blond vira au rouge vif. Puis détourna le regard honteux d’avoir aimer cela, puis il regarda avec curiosité le brun, il avait aimer cela ? Vraiment ?

« C’était très agréable, mais nous somme des garçons, cela ne gène t-il pas ? Ce n’est pas vraiment naturel. On est pas conçut pour allez ensemble.»

Cela c’est ce qu’il croyait évidement, mais la curiosité l’envahissait, et une flamme intérieur commençait a lui dévorer le corps. Aussi il se leva, pousser par ses hormones et alla vers le colonel, il le fit s’adosser a la bibliothèque, et mit ses mains sur le torse de celui-ci, se dressant sur la pointe des pieds, il vain l’embrassez sur le bas des lèvres, étant trop petit.

Edward sursauta quand la porte fut ouverte a la voler, se reculant des bras de l‘homme. Il souri en coin face a la question idiote de l’homme.

« Elle vous aime en dirait. Non ? »

Il s’étira comme un chat et alla se rasoir, il se reprit du thé a la vanille.

« Au faites la vanille est un excitant, si vous désire vous la faire, faites lui en respirer ou boire. »